Quoi qu'il en soit j'ai retrouvé avec grand plaisir l'Argentine que j'avais quittée il y a 2 ans 1/2 - avec parrilla (viande grillée), lomos (sorte de hamburger local), maté, alfajores (pâtisserie nationale), dulce de leche (confiture de lait), Quilmes (bière locale) et force ¡Che boludo! : tout ce qui fait le charme du pays !
Quand à la ville en elle-même, comment décrire en quelques phrases une métropole si riche que j'ai à peine l'impression de connaître ?
Buenos Aires a les pieds ancrés en Amérique Latine et la tête en Europe ; du Sud-Est au Nord-Ouest, on passe de la Boca, quartier emblématique de l'Amérique du Sud s'il en est, aux quartiers huppés comme le Microcentro, Recoleta ou Palermo. Les élégants bâtiments rappellent la gloire passée d'une Argentine qui fut près d'être la nation la plus riche du monde, et j'ai l'impression que la ville vit toujours dans la nostalgie de cette époque. Comment ne pas être nostalgique, d'ailleurs... Ce sont ces quartiers qui font dire de BsAs qu'elle est la Paris du Sud.
Entre les deux, s'étend San Telmo, lui aussi ancien quartier huppé mais qui a peu à peu décrépit, devenant aujourd'hui un quartier bohème, fief des magasins d'antiquaires dont les vitrines elles aussi témoignent de l'opulence qui avait cours durant l'âge d'or du pays. J'ai séjourné dans ce quartier, à quelques mètres d'une place très connue pour sa brocante du dimanche qui est devenue mon squatt du soir.
Entre les deux, s'étend San Telmo, lui aussi ancien quartier huppé mais qui a peu à peu décrépit, devenant aujourd'hui un quartier bohème, fief des magasins d'antiquaires dont les vitrines elles aussi témoignent de l'opulence qui avait cours durant l'âge d'or du pays. J'ai séjourné dans ce quartier, à quelques mètres d'une place très connue pour sa brocante du dimanche qui est devenue mon squatt du soir.
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