Ça fait un moment que je n'ai pas donné de niouzes, et pas de chances vous n'aurez pas droit aux photos cette fois-ci pour cause de problème avec windaube.
Après Santiago je suis donc allé à Mendoza, où j'avais fait mon stage ouvrier il y a 2 ans 1/2 - mais c'était en hiver. J'ai tout de suite retrouvé mes marques le long de la route qui relie Santiago à Mendoza sitôt passée la frontière : l'Aconcagua (plus haut sommet d'Amérique du Sud), le Puente del Inca (sorte de pont minéral qui enjambe une rivière et fut emprunté par les Incas), la voie de chemin de fer désaffectée, Uspallata (lieu du tournage de 7 Ans au Tibet), le lac de Potrerillos, et enfin Mendoza. La ville est totalement différente en été et j'ai eu peine à la reconnaître. Pour autant on n'oublie pas les bonnes vieilles habitudes : un tour sur le Pietonal, un lomo au Café del Pasaje, un tour sur la Plaza Independancia pour écouter les hippies jouer de la gratte, et - non en fait je ne suis pas retourné à l'Apeteco (bonjour à ceux qui connaissent, d'ailleurs)...
À Mendoza j'ai donc revu Noelia et Juan-P, collègues d'il y a 2 ans mais maintenant dans une autre bodega, Septima, superbe d'ailleurs. Visite privée, déjeuner gratuit au resto gastronomique et retour en taxi tous frais payés : si c'est pas la classe d'avoir des relations ? D'autant qu'on m'invite le soir au Hyatt pour une dégustation où j'arrive déguisé en trekker, ce qui fait un peu tâche au milieu des costards et robes de cocktail.
Et c'est en repartant pour Córdoba qu'on me vole mon sac (le petit, pas le grand) : s'en suit une loose incroyable de 4 jours à Córdoba où je ne fais strictement rien, à part insulter les types d'HSBC et de Western Union pour récupérer du fric. Rien à dire, donc, sur ces 4 jours inintéressants, si ce n'est que quand on a le moral la ville doit être très belle.
Enfin me voici à Buenos Aires depuis une semaine : pas fait grand chose non plus, à part la fête avec une bonne bande de potes (dont Olivier, qui était déjà là en janvier, et Adrien avec qui j'avais fait Torres del Paine). Maintenant que j'ai un beau passeport tout neuf et tout vert je repars dans 2 heures vers la Bolivie, et je pense atteindre Sucre dans 2 jours.
Stay tuned, la route continue !
mardi 24 février 2009
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3 commentaires:
Fini les gros mots et fait attention à ton gros passeport tout vert.
BIG MEGA HYPER SUPER GROS BISOUS
de ta plus petite cousine :)
La Pompe, le seul mec qui apres avoir perdu tous ses papiers et une bonne semaine de loose decide de continuer son voyage comme si de rien n etait!
Pechu gros, keep the show going!
Merci Pauline !
Et ma chère Corme, ben écoute tu me connais, on va pas se laisser démonter...
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